24/06/2019
NOUREDDINE ZAZA: UN MEMORIAL
Docteur en pédagogie de l'Université de Lausanne,
l'écrivain, éditeur et professeur Noureddine Zaza,
fondateur du Parti démocratique kurde de Syrie,
aurait eu cent ans cette année.
Il fut mon mari de 1972 à son décès en 1988
et il est le père de notre fils unique.
Il nous a beaucoup appris.
Un Mémorial hors commerce, en kurde et en français,
accompagné d'un portfolio photographique,
vient d'être édité.
Cet ouvrage peut être à obtenu (au prix de 15 €)
– à l'Institut kurde de Paris,
106 rue Lafayette 75010 PARIS
– à la Bibliothèque kurde de Stockolm
Kurdiska Biblioteken Gustavslundsvägen 170167 51 BROMMA
Et en Suisse chez l'éditeur au prix de 15 € (port inclus):
Editions Z, Fontenailles 3 1007 LAUSANNE
CH28 0900 0000 9141 5664 5
A noter que l'émission consacrée à Noureddine Zaza, réalisée par Gérald Mury et Iggal Niddam, dans LES VISITEURS DU SOIR en 1982 est maintenant en ligne grâce à la TSR et à des mécènes.
www.rts.ch/play/tv/visiteurs-du-soir/video/ma-vie-de-kurde--noureddine-zaza?id=10353430
D'autre part, une troisième réédition de l'autobiographie MA VIE DE KURDE, dans laquelle Noureddine Zaza a retracé son parcours, de son enfance au Kurdistan de Turquie, à l'exil en Syrie, aux emprisonnements en Irak et tortures en Syrie jusqu'à ses études et à l'exil en Suisse en est annoncée.
Ce livre a été traduit (la plupart du temps clandestinement) après la mort de Noureddine Zaza en turc, en kurde et en arabe.
16:13 Écrit par Gilberte Favre dans Culture, Histoire, Lettres, Monde, Politique, Résistance, Solidarité, Suisse, Vaud, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) |
30/05/2019
POEMES CHOISIS (65) ELUARD
Comme l'air que nous respirons,
la Poésie nous sera
toujours vitale.
Au fil des jours et des saisons,
voici des textes qui nous semblent répondre
aux interrogations du vingt-et-unième siècle
et à notre humaine condition.
«Rien, en poésie, ne s'achève.
Tout est en route, à jamais».
Andrée Chedid
IL Y A DES MOTS
Eluard, dont le poème «Liberté» éclaira le ciel des Français sous l'Occupation.
«Il y a des mots qui font vivre
Et ce sont des mots innocents
Le mot chaleur le mot confiance
Amour justice et le mot liberté
Le mot enfant et le mot gentillesse
Et certains noms de fleurs et certains noms de fruits
Le mot courage et le mot découvrir…»
*Au rendez-vous allemand, © Éditions de Minuit Paris, 1945,
11:48 Écrit par Gilberte Favre dans Culture, France, Lettres, Monde, Résistance, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) |